L'UNESCO pointée du doigt pour sa partialité antirusse
La Société nationale de radiodiffusion et de télévision de Russie a publié une réponse à un projet de rapport de la directrice générale de l'UNESCO, Audrey Azoulay, sur la sécurité des journalistes. Ledit rapport omet les journalistes russes tués ou blessés ces dernières années.
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a qualifié le rapport de "manifestement partial, à la limite du racisme", accusant Audrey Azoulay de négliger ses responsabilités.
@grand_reequilibrage
La Société nationale de radiodiffusion et de télévision de Russie a publié une réponse à un projet de rapport de la directrice générale de l'UNESCO, Audrey Azoulay, sur la sécurité des journalistes. Ledit rapport omet les journalistes russes tués ou blessés ces dernières années.
"Ce projet de rapport démontre l'inaptitude totale de Mme Azoulay à occuper son poste de haut rang", écrit la société dans un communiqué.
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a qualifié le rapport de "manifestement partial, à la limite du racisme", accusant Audrey Azoulay de négliger ses responsabilités.
"Il semble que cette omission ait été faite pour des raisons nationales, ce qui non seulement contredit le mandat de l'UNESCO mais soulève des questions sur l'aptitude morale de la personne occupant ce poste", a-t-elle déclaré lors d'un point presse.
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